Philippe MARCHAL

Directeur délégué aux publications de la CIEM. Représente le titre Mutualistes, magazine de prévention santé.



« À la mesure de notre influence et dans les domaines qui sont les nôtres, défendons notre indépendance et la volonté d’une information de qualité au service de tous. »

Philippe MARCHAL, membre du Conseil d’administration du SPS

Son parcours

Après des études de journalisme à Strasbourg puis à Paris, j’ai intégré la CIEM dès sa création en 1973. D’abord journaliste « multi-fonctions », rédacteur, photographe, secrétaire de rédaction, maquettiste, éditeur… je deviens délégué général puis directeur général de la coopérative, fonction que j’exerce jusqu’en 2014. Administrateur de la CIEM, j’en suis aujourd’hui le directeur délégué aux publications.

Mutualistes, magazine de prévention santé

Mutualistes est un trimestriel familial destiné aux adhérents des mutuelles réunies au sein du système d’information produit par la CIEM, coopérative d’information et d’édition mutualiste. Il comporte 24 pages de sujets de santé, d’actualités médicales, de conseils de prévention dont plusieurs sont réservées à l’information spécifique des mutuelles coéditrices.

Sa définition de la presse sociale

La presse sociale est garante d’une information sincère et utile dans les domaines de la vie en société, du monde du travail et de la santé.

Son engagement

Acteur engagé au service de la presse sociale, Président du SPS pendant près de 20 ans, le rôle et la mission de notre forme de presse m’apparaissent comme essentielles. L’accès à une information sincère et utile dans les domaines de la vie en société, du monde du travail et de la santé est une condition indispensable pour un monde libre et responsable. Dans cette exigence, les actions menées et à poursuivre en matière de lutte contre l’illettrisme et l’illectronisme illustrent la vocation de la presse sociale au service de la connaissance et du savoir, et souhaitons le, de la paix.

Zoom sur une action du SPS particulièrement marquante

Il m’apparaît que toutes les actions menées, que ce soit la lutte contre l’illettrisme, débutée en octobre 1995 avec notre première campagne « Je lis, j’écris, je vis » au virage numérique de l’illectronisme entrepris en 2018, sont marquantes et ont permis de réduire les fractures sociales et porter au plus haut niveau ces sujets fondamentaux.

Quel prochain combat pour le SPS ?

La poursuite de nos actions contre l’illettrisme et l’illectronisme.